Message de la rédaction

Dans son roman, Lafin des loups-garous, Madeleine Ferron écrit: «C'est quand un homme meurt qu'on peut connaître sa vie. Chacun apporte un souvenir, ajoute un trait au portrait qui s'esquisse et qui bientôt achevé, s'ajoute à la petite histoire.»

Un membre de la Société historique a écrit pour signaler une erreur qu'il aurait trouvée dans un article que j'ai posté à l'internet. Il dit que l'église de Bellevue n'avait pas été construite dans un marais et «qu'il y n'avait pas des infiltrations d'eau qui avaient miné le mur defondation au point de le détériorer.» Puis, il parle à sa soeur qui lui confirme qu'elle était allée «enlever l'eau qui s'était infiltrée au sous-sol afin que ce soit utili-sable pour la messe.»

C'est ce que fait le projet des Archives de Bellevue: ajoute un trait ici, un détail là. Bientôt, il y aura la petite histoire de Bellevue.

Dans le prochain numéro de Revue historique, nous voulons parler du rôle infâme joué par le Ku Klux Klan en Saskatchewan. Si vous avez une histoire, un souvenir, une image de cette époque, on apprécierait entendre parler de vous dans les plus brefs délais. C'est ça l'histoire! Un trait ici, un détail là.