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Société de la Saskatchewan
Société historique de la Saskatchewan

Revue historique: volume 13 numéro 3

Courrier

Nouvelles de la Société historique
Vol. 13 - no 3, mars 2003
le 31 janvier 2003,

Objet: Eugène Pigeon

Madame, Monsieur,

N'ayant pu vous rejoindre par votre page requête du site internet de la Société qui ne donnait pas accès au serveur, je vous adresse la demande d'aide ci-dessous à propos de Eugène Pigeon, qui se serait établi à Gravelbourg ou dans les environs immédiats, soit à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle.

Son père, Pierre, et sa mère, Virginie Bachand, se sont mariés en 1875 à la paroisse Ste-Prudentienne de Roxton Pond au Québec. Leur fils Eugène pourrait être né dans le même village.

Eugène Pigeon s'est marié à Léonide ou Léonie (patronyme inconnu). L'était-il à son arrivée en Saskatchewan ou s'est-il marié dans cette province? Peut-on savoir où ce couple demeura? Sur une terre ou en ville? Quels sont les enfants du couple qui seraient nés en Saskatchewan? Le couple est-il décédé et inhumé en Saskatchewan?

Je vous remercie à l'avance pour toute information généalogique ou historique que vous pourriez me fournir à propos de ce grand oncle.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, I'expression de mes sentiments les meilleurs.

Gilles Pigeon
80, rue Berlioz, App. #2101
Verdun, Québec,
H3E lN9


Monsieur,

Comme suite à la lecture d'un article concernant le Salon d'histoire et de patrimoine de Trois-Rivières au Québec en 2002, j'ai pris connaissance de votre organisme, la Société historique de la Saskatchewan. Il est mentionné dans l'article que vous désirez favoriser les contacts avec le Québec.

Je suis directrice d'un site historique, la Maison du Colon, dirigée par la Société d'histoire du Témiscamingue située à Ville-Marie en Abitibi-Témiscamingue.

Notre histoire débute avec le développement du commerce des fourrures à l'époque de la Nouvelle-France. Vers le milieu du XIXe siècle, les compagnies forestières sont venues ouvrir le territoire à la colonisation qui débuta officiellement aux débuts des années 1880. Les missionnaires oblats ont été très impliqué dans le développement de notre région.

À l'été 2001, suite à une rencontre avec une personne de votre coin de pays, j'ai découvert la richesse commune de notre patrimoine.

Afin d'offrir l'expérience d'un patrimoine vivant dans une vision d'un
monde élargi et diversifié, nous désirons établir des échanges culturelles avec des communautés qui partagent des liens historiques forts avec celle du Témiscamingue. Ainsi, vos propos, inscrits dans le journal La Nouvelle, ont retenu sérieusement notre attention. Nous désirons connaître vos projets de façon plus concrète afin de participer au développement de ces échanges.

Veuillez accepter l'expression de nos sentiments les plus sincères.

Julie Gilbert
Dir. Maison du Colon





 
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